DROIT DE REPONSE
Droit de réponse du Consulat Général d’Algérie à Paris
Faisant suite à l’article paru dans le journal électronique TSA, édition du 4 août 2015 concernant le cas d’une ressortissante qui prétend avoir été agressée au siège du Consulat Général d’Algérie à Paris le 29 juillet 2015, la cellule de communication du Consulat Général dément catégoriquement toute agression physique ou verbale contre cette personne et regrette que de telles allégations mensongères soient publiées par vos journalistes , sans la moindre vérification préalable. Le Consulat Général d’Algérie à Paris précise en outre que la personne concernée s’est effectivement présentée à l’heure de la fermeture des bureaux à 16 H 30, pour demander des renseignements concernant l’octroi d’un visa d’entrée en Algérie, non contente de la réponse donnée par l’agent d’accueil, la dame a commencé a se révolter exigeant l’établissement d’un passeport et divers documents immédiatement, tout en adoptant un comportement indigne et agressif accompagné de gestes violents et d’insultes outrageantes à l’encontre des agents d’accueil, de l’institution publique et des symboles de l’Algérie . Les faits se sont déroulés en présence de ressortissants qui peuvent témoigner de la violence de cette provocatrice, les enregistrements des caméras de surveillance du Consulat Général d’Algérie à Paris et des téléphones portables des présents peuvent prouver ces faits. Ces éléments de preuves sont à la disposition de la rédaction du journal TSA pour consultation.
Par ailleurs, et dans le même article, il est écrit qu’une ressortissante Algérienne a également été agressée à l’intérieur de l’Ambassade cette information est dénuée de tout fondement.
Enfin, Il apparait indiquer de signaler, que le siège du Consulat Général d’Algérie à Paris et l’annexe du Consulat Général qui abrite le service des visas accueillent quotidiennement environ sept cent (700) visiteurs pour divers prestations, et sont pris en charge sans le moindre incident notable.
Le Consulat Général d’Algérie à Paris vous prie d’insérer dans le journal TSA cette mise au point conformément au droit de réponse.